Ce balado développe plusieurs points au sujet du bonheur au travail. La notion de bonheur professionnelle est complexe, est-ce que le bonheur est une question de salaire ? Peut-on acheter le bonheur au travail ? Devons-nous être heureux au travail ?
Le balado aborde aussi la notion de perception du bonheur biaisée en fonction de notre salaire et définit le concept de bonheur à travers une approche plus scientifique.
Pour mesurer le bonheur au travail, la question posée à l’employé est de noter sur une échelle de 1 à 5, l’affirmation : “Je me sens heureux au travail la plupart du temps”. Ce qui ressort de ce sondage, c’est que la moitié des répondants disent que c’est l’atmosphère au travail et l’ambiance, qui est synonyme de bonheur.
Voici les résultats du sondage à ce sujet :
Notre perception du bonheur est biaisée. En effet, selon notre salaire, l’importance de la rémunération va évoluer. En effet, plus le salaire de l’employé se rapproche du salaire minimum, plus le salaire détermine son bonheur au travail. A l’inverse, plus le salaire est élevé, moins le salaire est le critère du bonheur au travail. En général, c’est à partir de 70 000$ par année que la barre s’inverse.
87% des Québécois disent que leur réalité professionnelle a une incidence sur leur vie personnelle, et ce chiffre à tendance à s’accroître avec le temps.
Selon une approche plus scientifique, plutôt que d’évaluer uniquement le bonheur, nous pouvons nous demander si nos besoins sont comblés. Cette approche se base sur la satisfaction des besoins fondamentaux comme l’autonomie, les compétences et l’affiliation.
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